Me voici, moi Maria Ramirez née au Texas il y-a cela 24 ans. Ma mère m'a mis au monde dans une souffrance terrible avant de succomber à la douleur.On peut dire que je commençais bien ma vie moi, a peine née et j'avais déjà une mort sur la conscience enfin mon père m'a si l'on puis dire élever comme il a pu le pauvre. Mécano de son métier, il devait changer mes couches entre deux vidange, je vous raconte pas l'état! A 3 ans je baignais déjà dans l'huile de moteur avec pour jouet une clé dynamométrique. En grandissant j'ai peut a peut seconder mon père dans son boulot c'est grâce a lui que je suis parvenue à avoir ce que j'ai aujourd'hui. Mais en grandissant les chose ne se sont pas dérouler comme il le souhaitait.

Il avais décider de faire de moi un garçon manquer et j'ai compris sa bien plus tard mais la vie ne nous réserve pas toujours ce que l'on veux. Moi petite conne que je suis j'ai voulu n'en faire qu'a ma tête et de file en aiguille ai plonger dans l'alcool, la drogue et le sexe.
Quand vous cotoyer a longueur de journée les garages vous ne vous faite pas des relation digne de la princesse de Gales. Bref mon quotidien se transformait peut à peut. Entre garçon manquer et femme fatale je jouait sur les deux tableaux et il faut dire que ce n'était pas pour me déplaire. Jusqu'au jour ou un de mes meilleurs pote a voulu me sauter, ma vie et partie carrément en couille. Je vous explique:

J'étais le jouet de la moitier des mec de la ville et ils étaient mon passe temps à mes heures perdues mais je n'aurait jamais penser que mon pote d'enfance avait le désire de me passer dessus alors quand celui ci se décida à vouloir me troncher la réponse de ma part fut négative bien entendu. C'est là que j'ai compris que malgré toute la complicité qu'il y avait entre nous, ce mec je ne le connaissait pas. Il m'avait toujours soutenu dans mes moments de galère et je le considérais comme un frère à mes yeux mais le geste qu'il eu envers moi ce soir là ne passa pas. Quand je me suis refusé à lui, il s'emporta furieusement et je vis dans son regard que peut importe ma décision il était bien décider à faire ce que bon lui semble.
Il m'arracha mon chemisier et sous un geste de colère de ma part je me débattu d'une force surhumaine le poussant violemment il tomba au sol et son crâne heurta le rebord d 'un morceau de ferraille pointu. Il creva net laissant sur place pour seul souvenir de lui, une flaque de sang. En cinq minutes j'ai examiner la situation, me disant que de toute manière qui voudrais croire que la radasse du coin c'était refuser a un mec. Alors sans une seconde a perdre j'ai pris mes clique et mes claque et j'ai déguerpis de cette ville aussi vite que possible.
Avec pour seul truc en poche un couteau quarante dollars et mon paquet de clope.
J'ai traîner pendant quelques semaines sur les routes profitant de tout et de rien et j'ai fini par me faire arrêter par les flics un soir ou je créchais dans un hôtel miteux.

Là c'était du tout vu! Prison ne passer pas par la case départ ne toucher pas 500 dollars.
J'ai taper cinq ans dans cette endroit de merde avec pour seul plaisir ma voisine de cellule plutôt agréable d'ailleurs. Je vais pas vous cacher qu'en cinq ans d'incarsération j'en ai bouffée du minou bref pour bonne conduite on me relâcha donc au bout de cinq ans au lieu de huit.
Bon débarra!! Car la vie en cellule n'est pas tout rose tout les jours et je ressort de cette "aventure" plus forte et déterminer qu'avant.
A ma sortie je ne connaissait rien de la ville ou j'étais, rien ni personne. Alors entre quelques trafic de drogue et autre j'ai réussi comme j'ai pu à survivre à droite à gauche.
Je vivais au jour le jour dépouillant quelques couillons tomber dans mon lit un soir d'abus d'alcool. Je leurs piquaient leurs caisse quand ceux ci avaient le dos tourné et les revendaient quelques miles plus loin pour me faire un peut de frique et à force de profiter de toute ses beaux engins je fini par y prendre goût. A part le faite d'apprécier les moteurs j'ai fini par apprécier ce qui qu'ils pouvaient dégager. Et depuis je peut vous assurer que je ne prends mon pied qu'avec un trois cent chevaux sous le capot.